Utiliser-Lightroom

Flux de travail => Catalogage et gestion des images => Discussion démarrée par: Cyril le 02 novembre 2011 à 15:48

Titre: gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 02 novembre 2011 à 15:48
Bonjour à tous,

Sur un ancien post j'ai lu:

Je ne duplique pas mes répertoires photo, les images sont toutes stockées sur le DD Externe, ainsi que le dossier catalogue et les aperçus.
En fait, je branche le DD externe sur un de mes ordinateurs et je démarre Lightroom à partir du catalogue présent sur le DD externe.
Les images originales sont bien évidemment dupliquées sur un disque de sauvegarde, mais non cataloguées par Lightroom.

Ce reprends le cours de ce fil afin que Gilles m'apporte un complément d'info sur ce qu'il vient d'écrire.
Je comprends pas trop.
Le DD ext  où se trouve les photos référencée par le catalogue,est une version travail. Est-elle strictement identique à la version originale des autres supports?
Ou au contraire y a t-il plusieurs copies d'originale et une version de travail spécifique (celle où par ex les jpeg se seront vu attribué les paramètres de réglage)?

Plus généralement j'aimerai savoir si les utilisateurs après import, travaillent directement sur les photos originales et synchronisent ce dossier de travail vers plusieurs autres supports. Ou au contraire faites vous un distinguo entre le dossier de travail et les versions originales sauvegardées?

Merci.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: benoit le 02 novembre 2011 à 16:39
Je ne sais pas si c'est le mieux, mais voici comment je m'organise:
Sur un volume consacré aux originaux, il n'y a que ces originaux, sans aucune modification par Lr.
Lorsque j'ouvre une image dans Lr, ce que je vois, c'est l'original + ce que j'avais fait dessus avec Lr; mais je peux toujours revenir à l'original.
Si je veux conserver un original modifié avec Lr, je l'exporte dans un autre dossier; jamais à la place de l'original.
Il peut arriver qu'une même photo soit exportée en plusieurs versions (une pour impression et une autre pour le web, par exemple).

En quelque sorte, mon seul dossier de "travail", c'est ma photothèque Lightroom.
Par sécurité, cet ensemble "originaux" et photothèque Lr est cloné sur un second disque dur, et cette sauvegarde est mise à jour régulièrement, bien sûr.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 02 novembre 2011 à 17:03
Merci Benoit pour ta réponse.

Mais tu n'as pas bien saisis ma demande. Je ne parle pas des exports qui ne seront de toutes façon jamais mélangés aux originaux, pire écrasés.
Mais de deux scénarios suivants:

Scénario 1
---Je copie les photos depuis la carte mémoire vers un disque dur externe N1 qui servira de source pour toute synchro.
--- Je synchronise ces originales (après tri) vers un disque ext N2 et un disque interne qui servira de lien avec le catalogue de lightroom.
--- Je veillerai, lors de la synchro (avec synback) de copier toutes les nouvelles photos et répertoires vers le disque 2 et disque de travail.
--- Je veillerai aussi à ne pas gérer les fichiers sidecars XMP et les versions JPEG modifiée (inscription des paramètre de réglage dans l'en tête du JPEG) qui se trouve exclusivement sur le dossier de travail.


Scénario 2
---Je copie les photos depuis la carte mémoire vers un disque dur interne, appelé disque de travail qui servira de source pour toute synchro.
---Je travaille sur ce disque en lien avec Lightroom (fichiers sidecar et entête jpeg modifiée)
--- Je synchronise ce disque de travail avec mes deux disque ext de sauvegarde.
--- Je veillerai à copier les nouveaux fichiers vers les disques sauvegarde, à supprimer les fichiers de la destination qui ne sont plus dans la source et copier vers la dest tous les fichiers modifiés (mode miroir).

D'après ce que tu dis c'est que tu ne te sers pas de la possibilité d'écrire les paramètres de réglage dans l'en tête des JPEG. Dans le cas où on s'en tient qu'au catalogue les choses sont évidemment plus simples
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 02 novembre 2011 à 23:07
Après réflexion je  choisis la 2 puisque dans le 1 je crée un lien entre le cat et le disque de sauvegarde et non le disque de travail. Je serais obligé de refaire les liens à chaque importation. Je vais devoir me résigner à travailler sur mes photos  version travail et synchroniser celles ci avec le reste. Faudra que je contrôle à chaque fois si je n'ai pas de fichier corrompu avant la synchro.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: benoit le 03 novembre 2011 à 21:43
J'avoue que je n'arrive pas à suivre, tellement ce que je fais est simple:
Je ne touche pas aux originaux, stockés en 2 exemplaires sur deux HD différents.
Les photos modifiées dans Lr sont exportées ailleurs.
Lorsque j'ouvre une image avec Lr, l'aperçu contient les paramètres de développement, que je peux conserver ou modifier, puisque l'original existe toujours.

Mais mes originaux sont des scans de négatifs ou inversibles datant de 10 à 40 ans: je ne peux pas me poser les mêmes questions qu'un photographe en activité.
Il me semble néanmoins que si je prenais des photos numériques, je conserverais intacts les fichiers originaux retenus.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 03 novembre 2011 à 22:49
Je ne touche pas aux originaux, stockés en 2 exemplaires sur deux HD différents.

Pour les RAW, ils sont intacts, Seules les JPEG seront modifiés car LR inscrit ses paramètres de réglage. Si je n'activais pas le fait de générer des métadonnées dans les fichiers , ceux ci seraient intacts. Mais si je souhaite afficher mes fichiers hors LR, je suis obligé soit d'exporter le nouveau fichier jpeg dans un rép dédié , soit modifier l'en tête du fichier. J'ai choisis la 2. Sur ce forum on a conseillé de générer les XMP hors catalogue.

Les photos modifiées dans Lr sont exportées ailleurs.

Je ne parle pas de fichier exporté. Il ne s'agit pas de ça!

Lorsque j'ouvre une image avec Lr, l'aperçu contient les paramètres de développement, que je peux conserver ou modifier, puisque l'original existe toujours.

Oui puisque les réglages sont dans le catalogue. Mais pour moi ils sont aussi à l'extèrieur. En fichier sidecar pour les RAW et dans l'en tête pour les JPEG.

Donc mon problème est de savoir que si dans mon disque de travail je modifie les fichiers, si recopier ceux ci dans les volumes backup est usage courant chez les spécialistes.

Sinon je propose, en pièce jointe,  un schéma de ma config:


J'aimerai que les spécialistes m'éclaire sur ce sujet.

Merci.

Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: C_Lucien le 03 novembre 2011 à 22:55
J'avoue que je n'arrive pas à suivre,

Les photos modifiées dans Lr sont exportées ailleurs.
Lorsque j'ouvre une image avec Lr, l'aperçu contient les paramètres de développement, que je peux conserver ou modifier, puisque l'original existe toujours.

Il me semble néanmoins que si je prenais des photos numériques, je conserverais intacts les fichiers originaux retenus.
Bonsoir,

comme benoit, j'avoue avoir eu aussi des difficultés à suivre un schéma d'organisation pour le moins inhabituel.
Le sujet "Votre méthode d'organisation des dossiers et de classement des photos. (http://www.utiliser-lightroom.com/forum/index.php?topic=125.0)" expose des méthodes diverses. La longue discussion qui s'y est tenue permet de repérer les plus fiables, adaptées aux besoins de la plupart.

Partons du postulat que les originaux sont des RAW ; je n'ai pas vu de mention à cet égard dans la contribution initiale de lawre51.

Dans la mesure où Lightroom ne modifie en aucun cas le fichier RAW, il est par définition préservé.

Tout ce qu'on a à faire, me semble-t-il, c'est d'adopter une stratégie de conservation des sorties adéquate à leur finalité :
- site web > export des images sur le site + sauvegarde du site entier + sauvegarde des modèles du site
- impression > pas de stockage des fichiers de sortie*, mais sauvegarde des paramètres d'impression
- diaporama > stockage du diaporama sur support amovible si un "transport" est prévu + sauvegarde des modèles de diaporama
- envoi des images développées à des tiers > pas de stockage local + sauvegarde des modèles d'export
- travaux répétitifs (clients, projets personnels, usages sociaux divers) > pas de stockage locale + sauvegarde des paramètres de développement
* sauf le cas des laboratoires Internet où je prendrais la précaution de conserver un double des fichiers jusqu'à réception des tirages

Sous réserve de n'avoir rien compris à Lightroom, je ne vois plus l'intérêt de recopier des images sur disque dès lors que je peux les recréer à la volée.
Je ne parle pas bien sûr des exports inévitables sous un format bitmap pour les retouches éventuellement nécessaires hors Lightroom.

Mes dossiers contenant les originaux RAW avec leurs XMP se trouvent sur un disque externe de travail et dupliqués sur un autre disque externe jumeau de sauvegarde. L'étape suivante pourrait être un 2ème disque de sauvegarde.

Les dossiers Lightroom (catalogue, etc.) sont aussi en double : disque interne, disque de sauvegarde.

<mylife ON>Pour l'anecdote
J'avais voici quelques années "couvert" un spectacle sur plusieurs représentations.
Débutant en numérique, je m'étais sévèrement lâché sur les déclenchements. Mon APN de l'époque ne connaissant que le JPEG, j'ai tout dupliqué en PSD, et traité des centaines de clichés.
Je vous laisse imaginer le volume des dossiers : originaux JPEG, originaux PSD, versions finales PSD, versions livrées JPEG.

Aujourd'hui, je n'aurais que les originaux traités dans Lightroom… au pire un CD des images livrées, mais c'est loin d'être sûr.
Surtout, je me retiens de déclencher  ;)
<mylife OFF>

C_Lucien
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 03 novembre 2011 à 23:09
Je pense que j'ai du mal à faire comprendre ce que je recherche.

Je n'ai pas que des RAWs malheureusement. Je n'ai pas le choix!
 Donc si j'importe de la carte mémoire vers à la fois le disque de travail et le catalogue, si, comme Gilles le préconise, j'active l'écriture des métadonnées hors catalogue, les JPEG de mon disque de travail seront bien modifiés. Jusque là c'est clair.
Donc , comment faite vous pour synchroniser tout ce monde en faisant en sorte que les jpeg originaux ne soient pas écrasés par ceux du disque de travail.
Simple non!

Dans le schéma que j'ai transmis, ma solution c'est de paramétrer syncback de telle sorte que je ne synchronise seulement que les nouvelles photos. Et seulement celles ci.
Mais vous devez avoir une autre méthode plus simple si vous choyez vos originaux.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 03 novembre 2011 à 23:14
Oui c_Lucien

Pour les RAWs pas de soucis.
J'ai lu et relus le post sur la méthodologie.
Je suis d'accord avec toi C_Lucien, export uniquement en cas de besoin spécifique. Pas de stockage en local puisque les versions seront recréés à la volée. +1
Mais franchement je vois pas en quoi ce schéma est inhabituel puisqu'il est basé sur l'application des différentes réflexions que j'ai pu lire et avoir

Mais je répète c'est mes JPEG récents que je dois gérer entre disque de travail et disque backup.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: C_Lucien le 04 novembre 2011 à 00:06
re bonsoir,

OK je vois mieux.
Je me trouvais dans cette situation avec mes deux premiers APN, un compact puis un reflex ne générant que des JPEG.
Pour moi, ce fut longtemps conversion immédiate en PSD, les JPEG n'étant plus jamais touchés.
Ils dorment encore sur les disques.

Aujourd'hui, avec Lightroom, j'aurais tendance à faire une recopie directe des JPEG, sans aucune métadonnée associée. Ces JPEG ne seraient jamais touchés.
Puis une conversion au format DNG dans le disque de travail, base du catalogue, aux côtés des RAW.
Ainsi, j'aurais des originaux classés de manière homogène, quel que soit leur format.
La stratégie de sauvegarde ne distingue plus RAW et DNG.
Éventuellement, l'édition de ces nouveaux originaux permettrait d'en éliminer une partie, jugée inexploitable, afin de limiter l'encombrement des disques.

J'essaie d'expliquer pour comprendre aussi.

C_Lucien
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 04 novembre 2011 à 00:21
Ah ouf tu m'as enfin compris.

Par contre je n'ai pas saisis ta méthode. Tu importerais tes JPEG où: sur un disque de travail ou ailleurs?
La conversion , tu l'as ferais via LR ou DNG Converter?

Mais il me semble que LR inscrit les réglages dans le DNG me semble t-il! J'en suis pas sûr.

Je viens de découvrir un truc. Puisque je souhaitais utiliser Bridge comme visionneuse, c'est pour cela que je modifiais les JPEG (j'aurais pu exporter aussi).
Mais sous LR, il est possible de visionner en diaporama en plein écran. Il suffit de tirer les poignées hors de l'écran. Du coup si j'utilise LR comme visionneuse , je n'ai plus besoin d'écrire dans mes JPEG. Tout reste dans le catalogue.

Le seul soucis (décidément), c'est que l'aperçu plein écran sous bridge est meilleur que sous LR (netteté). J'ai désactivé l'accélération matériel et laissé à bridge gérer l’affichage.
Je ne sais pas comment gérer cela.

Je te souhaite une bonne nuit et merci pour tes réponses. Car je me sentais seul avec ce problème.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: C_Lucien le 04 novembre 2011 à 14:10

Par contre je n'ai pas saisis ta méthode. Tu importerais tes JPEG où: sur un disque de travail ou ailleurs?
La conversion , tu l'as ferais via LR ou DNG Converter?
je n'ai plus de JPEG à la prise de vue, mais je voulais dire que ces originaux seraient stockés une fois pour toutes sur un disque de sauvegarde, les DNG sur le disque de travail, sauvegardés à leur tour comme tous les fichiers.
DNG Converter ou LR, je ne sais pas trop, n'ayant pas l'usage de cette conversion à ce jour.

C_Lucien
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 04 novembre 2011 à 15:20
Je te remercie pour ces précisions.

Mais si les JPEG sont dans un volume de sauvegarde (destination) et que la version DNG est dans le volume de travail (source) comment fais tu pour synchroniser?
Car si les jpeg sont manquants dans la sources, il ne faudra surtout pas les supprimer dans la destination. Pour le coup si après un travail tu décides de supprimer quelques DNG parce que tu ne peux rien en faire, dans cette configuration, le soft ne supprimera pas le DNG de la destination. Où alors il faudra jouer sur des filtres. Supprimer les dng mais pas les jpeg.

De plus cela signifie qu'au premier import tu n'utilises pas LR pour copier les jpeg, mais seulement lors de l'opération de copie en dng sur l'autre support. Du coup ça complique le workflow.

Je ne veux surtout pas passer pour quelqu'un de compliqué, mais j'essaie d'imaginer un flux cohérent, rapide et solide. J'ai des impératifs. Je shoot avec plusieurs boitiers sur un même reportage avec différents formats. J'utilise un soft de synchro auto. Je dois réarranger et trier les images (jpeg et RAW) dans un dossier unique (le videur m'impose un répertoire à chaque vidage).
Faire deux importations distinctes  nécessitent un double travail .   

Je pense que finalement le plus simple est de ne pas écrire quoi que ce soit dans les jpeg. C'est plus simple a gérer finalement.

Mais je me demande comment Adobe a envisagé la chose lors de l'implémentation d'une telle fonction. Comment ils imaginaient le flux?

Bonne journée et merci pour tes conseils.

Cyril
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 05 novembre 2011 à 22:11
Dans le DAM book que je viens enfin de recevoir, le fichier de travail décrit les images qui ont passé la phase d'importation dans le catalogue, mais qui n'ont pas encore été archivées et sauvegardées. C'est l'image en cours de traitement qui est soit l'originale (raw ou jpeg) soit le fichier traité (tiff).
Le fichier archive représente toutes les images (originales et finales) qui ont rejoint un emplacement de stockage définitif

Sous LR, lors de l'importation, je peux copier mes images de la carte mémoire vers un emplacement choisit 1 et je peux parallèlement choisir de faire une seconde sauvegarde vers un autre emplacement 2
A l'importation, si aucun paramètre n'est appliqué, ils sont tous des originaux.
 
L'emplacement 1 est-il considéré comme un dossier travail ou comme un dossier archive?
Réalisez vous systématiquement cette double copie?

Merci.
 
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 06 novembre 2011 à 00:32
Je me réponds à moi même. Veuillez m'excuser si je parle à voix haute.
J'espère que vous m'entendrez et me rectifierez si je pense à une bêtise.

Dans le DAM book, il est expliqué que l'import se fait de la carte  vers un dossier "fichier de travail". C''est en quelque sorte un réservoir d'image à traiter. Une fois les sauvegardes faites, les images préparées pour l'archivage (je comprends que le tri, la notation, les mots clé et les réglages ont été fait) seront déplacées vers un autre dossier: Le dossier  d'archive des originaux (la préparation dans le dossier travail n'a pas modifié les images flux non destructif). L'auteur nous évoque même l'idée de container en cascade.
Cette méthode est pratique pour différentier les images en cours de préparation et celles qui sont traitées et archivées.. Le dossier travail est un dossier provisoire mais qui sera sauvegardé au même titre que les autres.

On pourra même créer un 3ième répertoire pour les versions dérivées.

Mais tout ceci est bien compliqué quand même. Puisque avec LR je peux par exemple utiliser un dossier unique (version originale), puis gérer les lots à retoucher, en cours et terminés par des codes de couleur respectivement rouge, jaune, vert. Cela évite la complexification des containers et devoir tout déplacer depuis LR.

Qu'en pensez vous? Car je crois avoir lu ici que certains suivaient cette hiérarchie de dossiers suivant le statue de la photo.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Zaphod le 06 novembre 2011 à 09:34
Moi je n'ai qu'un seul dossier.
Je gère l'avancement du workflow entre autres grace aux codes couleurs, et aux collections dynamiques.

Il manque une possibilité de donner des couleurs à des dossiers, pour que ça soit vraiment parfait.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Eric01 le 06 novembre 2011 à 09:42
Il manque une possibilité de donner des couleurs à des dossiers, pour que ça soit vraiment parfait.

Trés bonne idée !
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 06 novembre 2011 à 21:28
Moi je n'ai qu'un seul dossier.
Je gère l'avancement du workflow entre autres grace aux codes couleurs, et aux collections dynamiques.

Il manque une possibilité de donner des couleurs à des dossiers, pour que ça soit vraiment parfait.

Voilà qui me conforte dans le choix d'un code de couleur dans LR.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Gilles le 07 novembre 2011 à 08:11
Pour revenir au premier post, ma citation est pourtant claire : je stockais mes images sur un DD externe, ainsi que le catalogue, pour les partager facilement entre mon Mac à la maison et mon PC au travail. Et je fais une copie de sauvegarde des originaux à l'importation, sur un autre disque, et ces fichiers restent en dehors du catalogue.

Depuis, ma méthode a quelque peu changé mais je ne veux pas ajouter à la confusion.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Gilles le 07 novembre 2011 à 08:19
Enfin, en ce qui concerne le DAM Book, je ne sais pas si tu as la VO ou la VF traduite par Volker Gilbert et moi-même, mais il est clair que je n'adhère pas forcément à certains concepts de l'auteur que je trouve bien lourds (celui des récipients avec les blu-ray, par ex).
Néanmoins, le bouquin apporte un grand nombre de connaissances intemporelles et universelles sur la gestion des fichiers, des métadonnées ainsi que la sauvegarde et l'archivage. Je reste plus circonspect sur le flux de travail lui-même.
Je connais bien Peter Krogh dans le sens où je suis souvent en contact avec lui, c'est un immense expert dans le domaine, mais son approche est assez décalée par rapport aux besoins du photographe lambda.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 07 novembre 2011 à 21:43
Enfin, en ce qui concerne le DAM Book, je ne sais pas si tu as la VO ou la VF traduite par Volker Gilbert et moi-même, mais il est clair que je n'adhère pas forcément à certains concepts de l'auteur que je trouvent bien lourds (celui des récipients avec les blu-ray, par ex).
Néanmoins, le bouquin apporte un grand nombre de connaissances intemporelles et universelles sur la gestion des fichiers, des métadonnées ainsi que la sauvegarde et l'archivage. Je reste plus circonspect sur le flux de travail lui-même.
Je connais bien Peter Krogh dans le sens où je suis souvent en contact avec lui, c'est un immense expert dans le domaine, mais son approche est assez décalée par rapport aux besoins du photographe lambda.

A la lecture des quelques passages que j'ai pu faire, avant de commencer ce vrai travail de lecture analytique, j'ai le même sentiment que toi.
L'approche des problématiques  que soulève l'auteur et ses solutions peuvent effectivement interpeler le lecteur et lui faire prendre conscience que la tâche est rude.
La version que j'ai acheté c'est la version VF que tu as co-traduite.

En ce qui concerne la seconde sauvegarde faite par LR, indépendante du catalogue, je trouve que c'est intéressant. Mais le renommage du dossier par lr  n'est pas en rapport avec ma structure de nom que j'ai adopté. Et cela est dommage
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: jipé49 le 08 novembre 2011 à 06:16
Je crois que ne comprends rien à ta manière de procéder tant elle me parait compliquée.
LR permet une simplification extrême, et surtout permet de se libérer de notre ancienne façon de travailler qui consistait à avoir des tonnes de doublons,  de copies différentes, sur des disques durs, toujours plus gros, avec des sauvegardes de plus en plus énormes, dans les quelles on finit par se mélanger les pinceaux et se planter.

Voici ma façon de procéder, simple, comme le fait le véritable fainéant.
1/ toutes mes images sont TOUJOURS vidées de la carte vers  leur emplacement définitif, le disque F : c'est le dossier "Originaux".(hiérarchie des dossiers et sous dossiers gardée).
2/Elles sont importées dans LR. (classées, cataloguées, ou même déplacées depuis LR).
3/ Dans LR, par le biais des collections, des copies virtuelles, des traitement multiples, je crée tous les "dossiers de travail" possibles et imaginables, toutes les versions possibles, sans surcharge des disques dur. (A moins d'un export, pour une impression, le web,etc). Tout est virtuel, et peut être classé d'une manière bien plus légère et subtile qu'avoir des stocks lourdingues d'images pesant un âne mort sur des disques durs encombrés. C'est même mieux que tout, puisqu'on peut modifier les images sans avoir le disque dur branché.
C'est donc LR, mon "dossier de travail".
4/Le catalogue, par défaut, s'inscrit en temps réel sur le disque C. Mais dans les préférences, on peut paramétrer, pour que le catalogue s'inscrive aussi dans le disque F. A coté du dossier "originaux". (Mais ce n'est pas utile, voir  en dessous le § 5.....)
5/On peut AUSSI paramétrer la sauvegarde de windows 7, (disque C, une fois par semaine), sur le disque F. Cette sauvegarde contient le système, et bien sur le Catalogue de LR, puisque par défaut enregistré sur C..................
6/En sauvegardant l'intégralité de F sur un disque dur appelé S, ( S, comme sauvegarde), avec sync back, synctoy ou n'importe quel logiciel de sauvegarde, on fait d'une pierre plusieurs coups.
On sauvegarde C, le système et les fichiers qu'il contient. On sauvegarde LR , le catalogue, donc tous les "dossiers de travail", et on sauvegarde tout le dossier "originaux", qui sont en dehors du catalogue. C'est pas beau la vie des animaux? 8)

QUESTION? et ceux ki zont pas  l'Aït Roum, comment ki font? L'export, mon bon monsieur, l'export....

Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 08 novembre 2011 à 13:29
Je crois que ne comprends rien à ta manière de procéder tant elle me parait compliquée.
LR permet une simplification extrême, et surtout permet de se libérer de notre ancienne façon de travailler qui consistait à avoir des tonnes de doublons,  de copies différentes, sur des disques durs, toujours plus gros, avec des sauvegardes de plus en plus énormes, dans les quelles on finit par se mélanger les pinceaux et se planter.

Voici ma façon de procéder, simple, comme le fait le véritable fainéant.
1/ toutes mes images sont TOUJOURS vidées de la carte vers  leur emplacement définitif, le disque F : c'est le dossier "Originaux".(hiérarchie des dossiers et sous dossiers gardée).
2/Elles sont importées dans LR. (classées, cataloguées, ou même déplacées depuis LR).
3/ Dans LR, par le biais des collections, des copies virtuelles, des traitement multiples, je crée tous les "dossiers de travail" possibles et imaginables, toutes les versions possibles, sans surcharge des disques dur. (A moins d'un export, pour une impression, le web,etc). Tout est virtuel, et peut être classé d'une manière bien plus légère et subtile qu'avoir des stocks lourdingues d'images pesant un âne mort sur des disques durs encombrés. C'est même mieux que tout, puisqu'on peut modifier les images sans avoir le disque dur branché.
C'est donc LR, mon "dossier de travail".
4/Le catalogue, par défaut, s'inscrit en temps réel sur le disque C. Mais dans les préférences, on peut paramétrer, pour que le catalogue s'inscrive aussi dans le disque F. A coté du dossier "originaux". (Mais ce n'est pas utile, voir  en dessous le § 5.....)
5/On peut AUSSI paramétrer la sauvegarde de windows 7, (disque C, une fois par semaine), sur le disque F. Cette sauvegarde contient le système, et bien sur le Catalogue de LR, puisque par défaut enregistré sur C..................
6/En sauvegardant l'intégralité de F sur un disque dur appelé S, ( S, comme sauvegarde), avec sync back, synctoy ou n'importe quel logiciel de sauvegarde, on fait d'une pierre plusieurs coups.
On sauvegarde C, le système et les fichiers qu'il contient. On sauvegarde LR , le catalogue, donc tous les "dossiers de travail", et on sauvegarde tout le dossier "originaux", qui sont en dehors du catalogue. C'est pas beau la vie des animaux? 8)

QUESTION? et ceux ki zont pas  l'Aït Roum, comment ki font? L'export, mon bon monsieur, l'export....

Figure toi qu'aujourd'hui je fais comme toi, exactement pareil!
Tu ne comprends pas, essaie de me relire. ;)

Car Gilles et d'autres préconisent l'écriture des xmp. Hors comme je l'ai expliqué , je ne travail pas qu'en RAW (boitier oblige).
Donc je me répète, avec ton workflow (et le mien), je modifie l'entête des jpeg et ce n'est plus un fichier originale puisque je l'ai modifié.

Certes l'image est intacte, encore que la réécriture du fichier n'est pas corrompue cette image. C'est autre autre problème.

Donc si ton catalogue est ton espace de travail et que la liaison est directement reliée vers le dossier archive, tu imagines facilement que tes jpeg sont  en permanence modifiés au rythme de l'ajout de mots clé, etc. Et cela pose problème si tu sauvegardes ce dossier archive vers d'autres supports .

C'est pour cela que ce post a été écrit.
Pour répondre à cette question: Comment gérer les dossiers de travail et archive distinctement sans utiliser les système de réservoir comme le décrit Peter KROGH.

Pour rester simple, je ne vais plus écrire les xmp dans les jpeg. Je conserve seulement les fichiers sidecar. Car finalement , il n'y a que les produits Adobe qui exploitent pleinement les corrections écrites dans ces fichiers.

Pour finir, si toi et ceux qui ne shoot qu'en RAW, vos flux seront considérablement simplifiés. pour moi c'est pas le cas.

Et je ne parle pas de mon videur de carte, horriblement cher, qui m'impose un répertoire à chaque vidage pour chaque carte.
Je shoot souvent avec 3 appareils montés avec un grand angle, un télé et mon excellent compact pour les paysages. C'est plus lourd me direz vous mais je suis plus réactif et surtout plus besoin de changer mes objectifs sous la pluie, dans la foule ou  en plein vent.
Ce videur renomme  mes multis répertoires par un nom tiré par les cheveux.

Donc , tous les photographes n'ont pas les mêmes besoins, pas les mêmes façon de travailler, pas les mêmes contraintes et par conséquent , ils doivent adapter leur flux en conséquence. Car il n'y a pas de flux type, idéal.

J'espère que tu as compris que je voulais traiter cette question en étant le plus simple possible.

Bonne journée à toi.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: jipé49 le 08 novembre 2011 à 16:24
C'est bien ce que je dis, je ne comprends pas.
Les XMP ne servent et ne sont écrits que pour les RAWS, pas pour les JPEG. Et je préconise AUSSI, (pour moi même, je ne veux influencer personne), l'écriture des XMP. Et d'ailleurs, il y a intérêt à le faire, sinon on perd tous les réglages qu'on a passé des heures à peaufiner.

Pour les JPEG:
Tu m'as mis le doute, du coup, je viens de faire l'essai : ben, oui, quand on modifie un JPEG dans LR, il reste tel qu'il a été pris dans le disque dur : pas modifié, nickel chrome. C'est le but. Les modifs ne sont apparentes que dans LR. (Bonne nouvelle, même pour les JPEG, LR n'est pas destructif). je peux donc me faire une collection de JPEG bigarrés dans LR, qui ne seront bigarrés que si je les exporte. :).Pour ce qui est d'écrire des mots clés qui enlèvent leur virginité aux JPEG, je m'en moque. Ce qui m'importe, c'est que l'aspect originel du JPEG le reste, sans modif de teinte ou quoique ce soit d'autre. Et contrairement à toi, ça ne me pose pas problème, au contraire, je suis bien content que les mots clés aient été rajoutés quelque part.(comme de toute façon, on n'y a pas accès de manière simple, ça ne me change pas grand chose quand je m'endors).
Mon videur de cartes écrit le nom des fichiers du boitier  sans les modifier.
Quant à mes boitiers, (2 5D MKII canon), sur un j'ai un 28-300mm, sur l'autre un 12-24mm ou un 100 macro. (Je sais, j'ai tous les vices, Canon et PC).......Là par contre, on pourrait avoir des séries d'images ayant les mêmes numéros, mais le risque statistique étant faible, je ne m'en suis pour l'instant pas préoccupé.( De toute façon, même si elles ont le même numéro, elles n'auront pas les mêmes mots clés). Sauvé!
Quant à la corruption des fichiers, j'ai du en voir un ou 2, 3 maxi. Sur 65 000, c'est peu et j'ai raté bien plus d'images avec le coup fatidique de "Full Card" ou de  "Battery empty" qu'avec la corruption des fichiers.....
 Comme tu as pu le lire au dessus, le disque d'archive, (même si ce n'est pas la pureté  virginale absolue), est quand même le SUPER disque d'archives, puisqu'il contient les raws, les jpegs, les xmp, les PSD générés par Photoshop, (ré importés dans LR), le catalogue et tout ce qui touche LR, (presets compris), plus la sauvegarde de mon système et de tous les fichiers  du disque C. Difficile de faire plus complet.
Et cette Super Archive est sauvegardée et placée ailleurs........OUF!
Puisque tu posais la question, c'est une  manière de bosser, il y en a d'autres. Mettre ses fichiers de travail sur le cloud, pour qu'ils soient accessibles n'importe où, par exemple....Utiliser Dropbox, ça peut se faire aussi.( Je le fais avec mon fils qui est en Australie).
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 08 novembre 2011 à 17:48
C'est bien ce que je dis, je ne comprends pas.
Les XMP ne servent et ne sont écrits que pour les RAWS, pas pour les JPEG. Et je préconise AUSSI, (pour moi même, je ne veux influencer personne), l'écriture des XMP. Et d'ailleurs, il y a intérêt à le faire, sinon on perd tous les réglages qu'on a passé des heures à peaufiner.


Les paramètres de réglage sont bien écrit pour les jpeg. Modifie un jpeg (passage en n&b) et écrit les paramètres dans l'en tête. Ouvre ce fichier dans bridge: il est en n&b. La taille du fichier a grossi. Donc les réglages ne sont pas qu'écrit que pour les RAWs.

L'intérêt de le faire? Garder tous ces réglages dans lesquels on a passé des heures à peaufiner? Mais le catalogue sert à quoi? D'autant plus que si tu a une stratégie de sauvegarde du catalogue, je ne vois pas le problème. C'est encore mieux: tu conserves les historiques, les codes couleurs, les collections, les copies virtuelles etc.
Le xmp n'est pas un vrai moyen de sauvegarde pour moi. C'est juste pour que Bridge et ACR puissent récupérer les réglages fait dans LR.


Pour les JPEG:
Tu m'as mis le doute, du coup, je viens de faire l'essai : ben, oui, quand on modifie un JPEG dans LR, il reste tel qu'il a été pris dans le disque dur : pas modifié, nickel chrome. C'est le but. Les modifs ne sont apparentes que dans LR. (Bonne nouvelle, même pour les JPEG, LR n'est pas destructif). je peux donc me faire une collection de JPEG bigarrés dans LR, qui ne seront bigarrés que si je les exporte. :).

Alors là, tu m'épates. Je sais pas comment tu t'y prends, mais chez moi pour ne pas modifier le jpeg , je dois décocher "Inclure les paramètres de développement dans les fichiers jpeg..."

Dans le cas contraire le fichier jpeg est modifié.


Mon videur de cartes écrit le nom des fichiers du boitier  sans les modifier.

Le mien non plus. C'est juste le container qui est renommé en un nomp bizarre

Quant à la corruption des fichiers, j'ai du en voir un ou 2, 3 maxi.

2 ou 3 ou même une seule image, je ne tolère pas mettre en place un flux laissant la place à ce genre de risque. Chacun son exigence! ;)

Comme tu as pu le lire au dessus, le disque d'archive, (même si ce n'est pas la pureté  virginale absolue), est quand même le SUPER disque d'archives, puisqu'il contient les raws, les jpegs, les xmp, les PSD générés par Photoshop, (ré importés dans LR), le catalogue et tout ce qui touche LR, (presets compris), plus la sauvegarde de mon système et de tous les fichiers  du disque C. Difficile de faire plus complet.
Et cette Super Archive est sauvegardée et placée ailleurs........OUF!

Il y a des gens qui considère qu'un original est un fichier issu de l'appareil photo. Toute modif, même un mot clé, une coordonnées GPS remettent en cause cette pureté virginale absolue. J'en fait parti.

Puisque tu posais la question, c'est une  manière de bosser, il y en a d'autres. Mettre ses fichiers de travail sur le cloud, pour qu'ils soient accessibles n'importe où, par exemple....Utiliser Dropbox, ça peut se faire aussi.

Ça c'est un autre aspect: La gestion des sauvegardes dans un environnement réseau. Je ne l'ai pas évoqué car cet aspect ne répondait pas à cette problématique de gestion de jpeg qui, chez toi semble, miraculeusement  intacts.

Pour finir, je suis vraiment perplexe que tu dises avoir vérifié et que tu penses que les paramètres de réglage ne soient pas placé dans le jpeg.
N'aurais je rien compris à LR?
 
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 08 novembre 2011 à 18:08
Bon regarde ce que j'ai trouve ici: http://help.adobe.com/fr_FR/Lightroom/3.0/Using/WS638E3AC9-A04C-4445-A0D3-F7D8BA5CDE37.html

<<Les métadonnées constituent un ensemble d’informations normalisées sur une photo, telles que le nom de l’auteur, la résolution, l’espace colorimétrique, le copyright et les mots-clés appliqués à la photo. Par exemple, la plupart des appareils photo numérique associent des informations de base sur les fichiers, telles que les dimensions, le format et l’heure de capture. Lightroom prend également en charge les informations standard développées par IPTC (International Press Telecommunications Council) pour identifier le texte et les images transmis. Cette norme comporte des entrées contenant les informations suivantes : descriptions, mots-clés, catégories, auteurs/remerciements et sources. Les métadonnées permettent de rationaliser votre flux de production et d’organiser vos fichiers.

Les informations sur le fichier sont stockées au format XMP (Extensible Metadata Platform). La norme XMP repose sur le langage XML. En ce qui concerne les fichiers Camera Raw utilisant un format de fichier propriétaire, les données XMP ne sont pas enregistrées dans les fichiers d’origine. Pour éviter la corruption des fichiers, les métadonnées XMP sont stockées dans un fichier distinct appelé fichier annexe. Quant aux autres formats de fichier pris en charge par Lightroom (JPEG, TIFF, PSD et DNG), les métadonnées XMP sont enregistrées dans les fichiers, à l’emplacement que vous indiquez. XMP facilite les échanges de métadonnées entre les applications Adobe et les déroulements de travail d’édition. Par exemple, il est possible d’enregistrer des métadonnées d’un fichier comme modèle et importer ainsi ces métadonnées dans d’autres fichiers.

Les métadonnées stockées dans d’autres formats, tels qu’EXIF, IPTC (IIM) et TIFF, sont synchronisées et décrites en XMP pour faciliter leur affichage et leur gestion.
>>


Il est préciser ici: http://help.adobe.com/fr_FR/Lightroom/3.0/Using/WSBED0E080-63AF-4ba4-ACCF-EC48C4F92D6D.html

<<Inclure les paramètres de développement dans les métadonnées dans les fichiers JPEG, TIFF et PSD
    Désélectionnez cette option pour ne pas inclure les paramètres du module Développement dans les métadonnées XMP des fichiers JPEG, TIFF et PSD.>>

On parle bien des paramètres du module développement, pas seulement les mots clé....

Voilà excuse moi d'insister mais je voulais que l'on soit sur la même longueur d'onde, que l'on parle de la même chose à paramètres identiques.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: jipé49 le 08 novembre 2011 à 18:17
Pour finir, je suis vraiment perplexe que tu dises avoir vérifié et que tu penses que les paramètres de réglage ne soient pas placé dans le jpeg.
N'aurais je rien compris à LR?
 


En tout cas, ça ne modifie pas l'aspect du JPEG original.
Essaye : Tu prends un jpeg, tu le tortures dans LR et par un clic droit : "afficher dans l'explorateur", regarde s'il a été modifié.
Alors???
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 08 novembre 2011 à 18:32
Non ça ne modifie pas l'image elle même puisque pour le faire il faut exporter. Mais le fichier l'est!
Mais l'explorateur ne sais pas interpréter les xmp dans les jpeg en dehors des mots clé et notation.
Essaie avec bridge ou ACR si tu les as. Et tu verras!

Je t'assure ça modifie ton fichier, mais pour le voir il faut un autre produit Adobe.
Regarde les poids en octet tu auras un indice.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: jipé49 le 08 novembre 2011 à 18:46
J'utilise LR, je ne vois pas l'intérêt d'utiliser bridge, surtout pour voir ma photo modifiée, car c'est justement ce que je ne veux pas.
Ce qui m'intéresse, c'est d'avoir l'image telle qu'elle était au départ. Qu'elle ait pris du poids, qu'elle ait changé dans Bridge, tu as raison, MAIS je m'en moque. La base de LR, pour moi, c'est de ne pas toucher à  l'aspect visuel de l'image de départ. Si tel était le cas, évidemment ça me poserait des problèmes, et le coté pratique de LR perdrait TOTALEMENT de son intérêt, puisque je serais obligé de me lancer dans des manipulations casse-machins, genre la sodomisation des mouches. Ce que l'on faisait avant l'apparition de LR.
Que ça rajoute des positions GPS, c'est encore mieux, les images deviennent visibles dans GOOGLE EARTH. Mon copain MOMO, a pu retrouver tous le endroits de notre voyage en Islande.
En attendant, le fichier modifié me convient parfaitement puisque ça ne se voit pas.

Soi dit en passant, le GPS est un avantage  de NIKON sur CANON, mais hélas, je suis un client captif.......
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 08 novembre 2011 à 18:59
Bon et bien n'empêche que toi tu parles de l'image et moi du fichier.

Si tu lis ce que dis Adobe:<< Pour éviter la corruption des fichiers, les métadonnées XMP sont stockées dans un fichier distinct appelé fichier annexe>> cela signifie qu'il faut mettre en place une stratégie supplémentaire afin de vérifier les nouveaux fichiers afin de déceler une éventuelle corruption. La corruption c'est pas moi qui l'affirme c'est Adobe ...et toi puisque tu as eu 2 ou 3  images foutues.

Donc moi ça me gène, car le workflow s'en trouve complexifié.... Au début, quand je suis arrivé sur ce forum, il y a quelques semaines, j'avais acquit que les paramètres de réglage dans les jpeg n'étaient pas gênant puisque réversibles.

Mais en construisant mon workflow, j'ai réfléchi à tout cela. Et ça me gonfle je te l'avoue.

Car je ne veux pas voir modifier quoique ce soit dans mes originaux.
Pourquoi? Car si les paramètres de réglages inscrit dans le jpeg sont réversibles, dans 10 ans, qu'en sera t-il? La lecture des corrections dans le XMP n'est pas adopté par tout le monde. Alors si Adobe change de route, on fera quoi avec ces saloperies non exploitables dans le fichier. Et si ça risque de faire beugger les futures logiciels? 

Je dois trop me prendre la tête! Mais j'ai un but: Construire un flux solide c'est à dire capable d'évoluer avec les nouveaux outils sans qu'il s'effondre lorsque les standards auront changé. Car ils changeront. Cela a toujours été ainsi.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 08 novembre 2011 à 19:04

En attendant, le fichier modifié me convient parfaitement puisque ça ne se voit pas.


ça par contre, pour moi c'est dommage. Ne plus exporter les jpeg sauf pour un besoin spécifique et bénéficier d'une image améliorée aurait été géniale.
Si ça ne ce voit pas, quel intérêt, contrairement aux fichiers sidecar?
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: jipé49 le 08 novembre 2011 à 19:12
Je sais même pas ce que sont les fichiers side car.
L'intérêt, c'est que l'aspect visuel de l'image d'origine n'est pas modifié. Et c'est, je crois, le principe de base de LR. Ne pas modifier l'original.

Et d'ailleurs, je viens d'avoir une idée, pour conserver tes images dans leur pureté originelle.

Chaque fois que tu vides une carte, fais le sur un disque dur (1), auquel tu ne touches pas, tu rajoutes simplement  les images, au fur et à mesure.
Sur un autre disque dur, (2), tu copies le premier disque dur (1). Sur ce 2ème disque dur, tu fais tout ce que tu veux. Evidemment, tu  sauvegardes le 2 sur un troisième disque dur (3) en ayant pris soin de sauvegarder le  disque dur (1) sur un 4 ème disque dur (4).
Tu auras tes images et leur sauvegarde dans leur pureté originelle, sur les disques 1 et 4, et tes images "trafiquées" et leur sauvegarde sur les disques 2 et 3.
C'est simple, fallait juste y penser.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 09 novembre 2011 à 05:08
Merci de t'être penché sur ce problème.

Mais avant je voudrais dire que le fichier sidecar est le fichier xmp qui est crée à côté du RAW.
Effectivement l'image n'est pas modifiée puisque les paramètres de réglage ne sont pas encapsulés dans l'image bitmap. Ils sont juste associés  au fichier pour être interprété par bridge ou ACR.

Tu proposes une bonne solution, mais pas pour moi  ;D
Pourquoi?
Parce que j'importe une série de photos provenant de plusieurs répertoires (videur de carte) et je dois réarranger tout cela. Donc j'utilise principalement LR qui est souple pour ce travail. Cela signifie que ma 1 importation est en liaison avec le catalogue. On est loin de l'archive stérile que tu évoques. Où alors il faudrait pour que ça marche utiliser un autre soft de transfert et lier LR au second dd. C'est une solution mais pas la plus simple finalement. Car elle me fait utiliser plusieurs softs différents.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: jipé49 le 09 novembre 2011 à 06:00
je crois avoir exposé (un peu trop longuement) ma manière de travailler et de sauvegarder, j'ai puisé chez d'autres participants à cette discussion, des idées à mettre en pratique de façon à simplifier encore plus ma façon d'agir, nous en arrivons à une discussion dite du "serpent qui se mord la queue", malheureusement, en ce qui me concerne , je ne suis pas assez souple, je parle de la discussion, comme il se doigt.....
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: ongalain le 09 novembre 2011 à 06:05
Donc j'utilise principalement LR qui est souple pour ce travail. Cela signifie que ma 1 importation est en liaison avec le catalogue. On est loin de l'archive stérile que tu évoques. Où alors il faudrait pour que ça marche utiliser un autre soft de transfert et lier LR au second dd. C'est une solution mais pas la plus simple finalement. Car elle me fait utiliser plusieurs softs différents.

Bonjour

Je n'ai pas tout lu donc cela a peut-être été suggéré déjà.
Mais lors de l'importation, tu as la possibilité, avec LR, de faire une copie sur un second disque en même temps.
Cela, il me semble, correspondrait à tes besoins.
Alain
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Gilles le 09 novembre 2011 à 08:14
Parce que tu crois vraiment qu'Adobe va se payer le luxe de laisser ses clients sur le carreau en cas de changement de normes ? Voilà une vision bien étriquée et bien négative de cette boîte et des développeurs qui y travaillent.

Pour revenir à l'écriture des paramètres de développent dans les JPEG, celle-ci se fait dans l'entête de fichier prévue à cet effet, au format XMP. Ce n'est que du texte, ça n'affecte pas l'image, je ne vois donc pas où est le problème.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: jipé49 le 09 novembre 2011 à 13:07
Oh!L'angoisse, 3 pages de posts pour arriver à ça.......
Titre: Re : Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 09 novembre 2011 à 16:22
Donc j'utilise principalement LR qui est souple pour ce travail. Cela signifie que ma 1 importation est en liaison avec le catalogue. On est loin de l'archive stérile que tu évoques. Où alors il faudrait pour que ça marche utiliser un autre soft de transfert et lier LR au second dd. C'est une solution mais pas la plus simple finalement. Car elle me fait utiliser plusieurs softs différents.

Bonjour

Je n'ai pas tout lu donc cela a peut-être été suggéré déjà.
Mais lors de l'importation, tu as la possibilité, avec LR, de faire une copie sur un second disque en même temps.
Cela, il me semble, correspondrait à tes besoins.
Alain

Oui c'est possible mais le renommage des dossiers par lightroom n'est pas en rapport avec la hiérarchie que j'ai décidé. Il faudrait intervenir manuellement afin de renommer sous lr ou avec l'explorateur. Donc perte de temps pour moi.
Mais merci Alain pour  cette intervention.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 09 novembre 2011 à 16:24
Oh!L'angoisse, 3 pages de posts pour arriver à ça.......

Non la discutions n'est pas stérile. Détrompe toi. Je te remercie pour  toutes ces interventions. C'est un sujet important car c'est la 1 étape du workflow.

Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Seb le 09 novembre 2011 à 16:28
Je sais même pas ce que sont les fichiers side car.
L'intérêt, c'est que l'aspect visuel de l'image d'origine n'est pas modifié. Et c'est, je crois, le principe de base de LR. Ne pas modifier l'original...

Oui, mais...

Là où vous n'êtes pas sur la même longueur d'onde, c'est que pour que le Jpeg ne soit pas modifié physiquement, c'est à dire qu'il n'y ait aucune nouvelle sauvegarde du Jpeg, il faut décocher la case Inclure les données de développement... dans le panneau des préférences du catalogue. Si tu ne fais pas ça, Lr sauvegarde les XMp correspondant aux développement dans la partie du Jpeg réservé à cet effet. Il y a donc bien une nouvelle sauvegarde. Ce que craint lawre51 c'est que cette opération vienne à corrompre le Jpeg d'origine. Toi, tu penses qu'il ne touche à rien car la date que tu vois dans ton explorateur correspond à la date de création du fichier et non pas à la date de la dernière modification.

Pour Adobe :
 - un fichier original est un Raw. Là, jamais Lr n'y touche. Soit il écrit les données de développement dans le catalogue, soit il le fait en plus (en plus ou à la place ? me souviens plus) dans un fichier supplémentaire en .xmp.
 - un fichiir Jpeg, Tif... n'est pas considéré à proprement parlé comme un original. Soit Lr écrit les données dans le catalogue, soit en Xmp. A la différence du Raw, il ne crée pas un nouveau fichier mais se sert de l'entête du Jpeg (ou tiff) prévu à cet effet. Donc, il y a bien un nouvel enregistrement. C'est là, que lawre51 se demande si justement ce n'est pas risqué et voudrait qu'un Jpeg soit traité comme un RAW avec un fichier Xmp annexé et non pas des données embarquées.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Seb le 09 novembre 2011 à 16:29
Enfin, si j'ai bien compris...
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 09 novembre 2011 à 16:39
Enfin, si j'ai bien compris...

Oui Seb tu as parfaitement compris l'enjeu du problème. Merci pour cette intervention.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 09 novembre 2011 à 16:52
Parce que tu crois vraiment qu'Adobe va se payer le luxe de laisser ses clients sur le carreau en cas de changement de normes ? Voilà une vision bien étriquée et bien négative de cette boîte et des développeurs qui y travaillent.

Pour revenir à l'écriture des paramètres de développent dans les JPEG, celle-ci se fait dans l'entête de fichier prévue à cet effet, au format XMP. Ce n'est que du texte, ça n'affecte pas l'image, je ne vois donc pas où est le problème.

Je dis simplement que je ne souhaite pas être prisonnier d'un système.
Non je n'ai pas de vision étriquée!
Crois tu que Microsoft se préoccupe de ses clients lorsqu'il sort un nouvel OS rendant tes programmes achetés inopérants, rendant inutilisable certaines périphéries car plus de pilote.
Pourquoi la pérennité du format RAW fait couler beaucoup d'encre. Parce que les gens s'interrogent! Parce qu'il y a autant de format que d'éditeurs! Parce qu'il n'y a aucune garantie! D'ailleurs Adobe a crée le DNG dans cette optique. Car rien est sûr dans 10 ans.
Nos expériences nous ont montré qu'il en était ainsi. Voilà pourquoi le xmp, recette propre a Adobe me fait peur. C'est légitime. Adobe a t'il communiqué sur ce sujet?

Pour répondre au second point.
Oui, les images sont intactes, seules, les données de traitement sont ajoutées dans l'en tête.
Mais visiblement tu n'as pas dû faire attention car je l'ai dis beaucoup de fois.
Donc je ne comprends pas cette remarque qui je pense m'était adressée.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Seb le 09 novembre 2011 à 17:17
Pour le format XMP plus le temps passe plus tout le monde s'accorde à dire qu'il est en passe de devenir un standard...

Concernant ce format il est tt de même reconnu. IView Média Pro le prenait en charge, Bibble aussi. De nombreuses applications de georeferencement y font appel. C'est pas forcément une sauce interne.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 09 novembre 2011 à 17:29
Pour le format XMP plus le temps passe plus tout le monde s'accorde à dire qu'il est en passe de devenir un standard...

Concernant ce format il est tt de même reconnu. IView Média Pro le prenait en charge, Bibble aussi. De nombreuses applications de georeferencement y font appel. C'est pas forcément une sauce interne.

Oui tu as raison de le préciser mais j'évoquais l'aspect des paramètres de réglage. Je crois qu'ils ne sont interprétés que par Adobe. J'en suis pas sûr, puisque je n'ai pas tout essayé.

Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Seb le 09 novembre 2011 à 17:53
Oui. Mais c'est vrai avec tous les logiciels sur ce point. C'est aussi logique car chacun possède ses propres algorithmes.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 09 novembre 2011 à 18:28
Oui. Mais c'est vrai avec tous les logiciels sur ce point. C'est aussi logique car chacun possède ses propres algorithmes.

D'ailleurs même constat avec DPP sur les RAWs. Il écrit ses réglages dans le RAW et il est le seul , à part le boitier, à le gérer.

Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Seb le 09 novembre 2011 à 18:55
Idem avec Capture NX. Par contre Lr préserve les RAW. Silkypix et Capture One créent un dossier dans le même répertoire que les RAW corrigés. C1 peut aussi les inclure dans un format propriétaire (un zip!) qui inclus RAW et données de traitement. Le format est alors en .eip.
Titre: Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Gilles le 10 novembre 2011 à 08:06
Pffff... le xmp est un format texte, et ouvert. Et c'est désormais un standard industriel puisque ses spécifications sont maintenant incluses dans les travaux du Metadata Working Group.
Titre: Re : Re : gestion des versions travails et originales
Posté par: Cyril le 10 novembre 2011 à 20:18
Pffff... le xmp est un format texte, et ouvert. Et c'est désormais un standard industriel puisque ses spécifications sont maintenant incluses dans les travaux du Metadata Working Group.

Justement ouvert. Oui parce que le framework.4 fournit les nouveaux espaces objets qui communiquent en mode déconnecté avec la BDD. Justement par le  fichier XML. C'est la plateforme.net.
Et cette plateforme que je connais bien est en pleine évolution.......Les spécifications ne sont pas figées. Je parle du modèle des bases de données utilisant la structure du xml évidemment qui doit s'adapter aux nouvelles classes et aux nouveaux espaces de nom.
Je vois pas pourquoi un standard industriel du moment serait le même dans 10 ans ou plus. Surtout en terme de gestion de données.
Demandez à ceux qui ont utilisé les anciens standards (2006) et ils vous diront que la gestion de donnée basé sur SQL Server ou autre a profondément changé. Pourtant c'était un standard il y a 5 ans!