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Général => Lightroom : questions générales => Discussion démarrée par: manu12 le 21 mai 2009 à 09:44
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Bonjour,
Sauf si l'on décide dans les préférences de "traiter séparément les fichiers RAW et JPG", LR2 ne fait apparaître qu'une photo sur laquelle on travaille (le Raw en l'occurence puisqu'il permet les modifications entre autre d'exposition).
Ma question est donc de savoir si il y a un interêt à shooter en RAW+JPG si on utilise LR2 comme WorkFlow ?
où alors est ce que le JPG sert "d'apercu" et de base pour une exportation (le réglage luminosité et contraste que l'on voit respectivement à +50 et +25 est issu du jpg?) alors que si on l'exporte sans le JPG l'image (hors traitement spécifique) celle ci ne sera pas "optimisée" ?
..merci de vos lumières..Si vous avez saisie mon raisonnement..:)
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Ma position est très claire à ce sujet : travailler en raw+jpeg n'a aucun intérêt dans le cadre du flux de travail Lightroom.
A moins de vouloir rapprocher le traitement des raw de celui des JPEG faits en interne par le boîtier.
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donc cela veut dire que Lightroom "n'optimise pas" l'image en fonction du fichier JPG, sa présence (JPG) n'apporte rien ?
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oui oui, le jpg issu d'un RAW+jpg vit sa vie indépendamment du RAW. Aucun lien entre eux (sur le plan du traitement) si ce n'est que le traitement fait par le boîtier pour générer le jpg est souvent pris comme point de départ visuel pour traiter le RAW.
Ceci dit, j'ai du mal à concevoir comment on peut prendre le jpg généré par le boîtier (celui-ci (le boîtier) ayant des capacités de traitement bien inférieures aux possibilités offertes par n'importe quel logiciel de traitement, et tout particulièrement Lightroom) comme la cible a atteindre pour le développement du RAW.
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Ma position est très claire à ce sujet : travailler en raw+jpeg n'a aucun intérêt dans le cadre du flux de travail Lightroom.
A moins de vouloir rapprocher le traitement des raw de celui des JPEG faits en interne par le boîtier.
Quand j'ai débuté avec LR, j'aimais bien aussi shooté en RAW+JPG pour pouvoir m'habituer à retrouver une qualité identique au traitement du boitier. Cependant, j'ai rapidement abandonné ce processus lourd en espace disque dur et puis, j'ai trouvé (avec les tutos de Gilles) une qualité de photo sous LR supérieure au JPG originaux
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Quand j'ai débuté avec LR, j'aimais bien aussi shooté en RAW+JPG pour pouvoir m'habituer à retrouver une qualité identique au traitement du boitier. Cependant, j'ai rapidement abandonné ce processus lourd en espace disque dur et puis, j'ai trouvé (avec les tutos de Gilles) une qualité de photo sous LR supérieure au JPG originaux
C'est effectivement une démarche raisonnable. Mais je ne suis pas sûr qu'elle soit indispensable dans tous les cas.
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ok donc la seule utilité du JPG dans lightroom serait la gestion des catalogues finalisés (autrement dit exporté) je vais donc aussi "nettoyer" mon DD de tous ces JPG et ne shooter qu'en RAW
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Si tu exportes des JPEG - car, au bout d'un moment, faudra bien publier les images - tu peux les réimporter automatiquement dans le catalogue, dans un sous-dossier attaché au dossier source. L'intérêt est de :
- Les gérer dans le catalogue et leur attribuer des métadonnées.
- Les avoir sous la main au cas ou (le boss qui te réclame à nouveau les images que tu as pourtant livrées 2 jours avant).
Cdlt.
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- Les gérer dans le catalogue et leur attribuer des métadonnées
Sauf que ça t'oblige, en cas de modif de métadonnées, à les affecter deux fois (une fois au RAW, une fois ou JPEG).
Ca peut aussi engendrer une confusion lorsque tu fais des recherches ou des collections dynamiques...
Perso... j'ai une architecture de dossiers parallèle avec des JPEG, mais qui ne sont surtout pas intégrés au catalogue.
(à la limite on peut se créer un deuxième catalogue mais je ne l'ai pas fait...)
Au pire, si jamais j'ai trop fait évolué mes photos, l'archecture parallèle se refait en quelques clics... et en quelques heures...
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c'est un peu ce que j'ai fait pour les exports, j'ai crée un dossier racine ou je les exporte mais sans les inclure dans mon catalogue, comme je garde toujours les RAW, il suffit de les retrouver facilement avec LR et après de relancer une exportation unique ou par lot
merci en tout cas de vos conseils avisés
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Si tu exportes des JPEG - car, au bout d'un moment, faudra bien publier les images - tu peux les réimporter automatiquement dans le catalogue, dans un sous-dossier attaché au dossier source. L'intérêt est de :
- Les gérer dans le catalogue et leur attribuer des métadonnées.
- Les avoir sous la main au cas ou (le boss qui te réclame à nouveau les images que tu as pourtant livrées 2 jours avant).
Cdlt.
Bonsoir Gilles,
Comment fait on pour réimporter les Jpegs automatiquement ?
Merci
Michel
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Tout simplement dans le menu exporter, avec les réglages dans la capture ci-jointe.
Les images exportées seront, dans ce cas, réimportées dans le dossier d'origine, indéxées par Lightroom et même empilées sur leurs originaux !
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De mon coté j'exporte en Jpeg dans un autre répertoire.
Cela permet de les visualiser dans l'apercu windows (plus rapide et plus instinctif).
Je demande aussi leur insertion dans le catalogue pour gérer les mots clés.
Par contre voilà ma question.
Actuellement j'ai environ 12000 entrées dans le catalogue réparties comme suit :
1500 fichiers TIFF issus de scan de négatif. ils ne sont pas encore tous post traités mais à terme je pensais les exorter tous en JPEG
2000 fichiers RAW (NEF). Je ne shoote uniquement en RAW que depuis 18 mois environ. ILs ont tous été postraités et exporter en JPEG
8500 JPEG issus soit des exports soit de mon ancienne "production" uniquement JPEG.
Est ce utile à votre avis de faire un catalogue TIFF, un RAW et un JPEG ?
Cela permettrai d'alléger l'actuel.
Ne vais je pas me créer d'autres problèmes ?
Merci d'avance
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Multiplier le nombre de catalogues est un réel problème du point de vue organisation. Je laisserai tomber tant que Lightroom ne sera pas capable d'afficher plusieurs catalogues en même temps (s'il le fait un jour).
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La question est intéressante.
Pour y répondre, je vais prendre un angle de vue particulier :
Je me suis posé la question - certes funeste, mais théoriquement possible - de ce qu'il adviendrait de ma collection de photos gérée par LR en cas de disparition de son propriétaire (moi !).
Je ne prends qu'en RAW et par conséquent, toute retouche effectuée est soit contenue dans un fichier xmp annexe, soit dans un tiff. Tant que LR est utilisé, il est parfaitement possible de visualiser les retouches effectuées, y compris sur les RAW.
Par contre, pour revenir à mon point de départ, si d'autres personnes néophytes étaient amenées à utiliser ces photos, hors de LR, il serait très probable qu'elles ne puissent pas visualiser les retouches (contenues dans la base de données ou dans les fichier xmp - c'est comme si elles se retrouvaient avec des négatifs, mais sans les tirages papier, donc sans l'interprétation apportée au moment du développement)
Par conséquent, j'ai pris le parti de générer systématiquement une copie au format jpeg de ma collection afin de disposer de quelque chose de directement exploitable par des utilisateurs "lambda", sur un disque dur externe, mais surtout pas sous forme d'un autre catalogue.
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Merci
J'ai bien compris que je me lancerais dans une galère si je multipliais les catalogues.
FX Belloir, quand tu dis à la fin de ton post que tu n'exporte surtout pas sous la forme d'un autre catalogue, est ce que cela veux dire que tes JPEG ne sont pas du tout catalogués même pas dans le catalogue principal ?
Si c'est le cas tu perds l'intérêt des mots clé sur les Jpegs, ce n'est pas gênant ?
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FX Belloir, quand tu dis à la fin de ton post que tu n'exporte surtout pas sous la forme d'un autre catalogue, est ce que cela veux dire que tes JPEG ne sont pas du tout catalogués même pas dans le catalogue principal ?
Si c'est le cas tu perds l'intérêt des mots clé sur les Jpegs, ce n'est pas gênant ?
C'est exactement ça. L'idée avec cette exportation en jpeg n'est pas de constituer une base de travail (j'utilise pour ça celle déjà constituée par les RAW et les Tiff) supplémentaire, mais bien de faire quelque chose qui puisse être accessible par tout un chacun et en l'absence de LR. A noter que les métadonnées (incluant les mots-clés) sont bien présentes dans ces jpeg, ce qui assure une certaine portabilité (autonomie) si nécessaire.
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Par conséquent, j'ai pris le parti de générer systématiquement une copie au format jpeg de ma collection afin de disposer de quelque chose de directement exploitable par des utilisateurs "lambda", sur un disque dur externe, mais surtout pas sous forme d'un autre catalogue.
Je fais exactement la même chose, avec du JPEG qualité "correcte" (même pas du 100%).
Tout ressort taggé, traité, etc...
Pas forcément exactement la dernière version parce que des fois je change 2/3 trucs, mais c'est mineur.
Au moins ça n'est pas du "brut pur" ou du RAW dont la majorité des gens ne pourront rien faire.
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OK j'ai bien compris.
Je vais voir si dans mon cas je peux "décataloguer" les JPEG