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J'ai déjà eu ce problème, et les couleurs sont aussi pour moi une méthode de classement, plus exactement sur l'avancement du workflow. Mais je ne peux pas te répondre, je n'ai pas compris ce qu'il s'est passé !
Sans doute une erreur de ma part... mais laquelle ?
Bon courage.

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2 remarques :
1 - La tonalité auto ne peut se faire que sur l'image globale, car sinon, comment faire en sorte que le réglage reste identique si on recadre après ? Il ne faudrait quand même pas que le rendu change du tout au tout suite en fonction du recadrage, ce serait ingérable à mon avis.
2 - Le vignettage après recadrage est je crois prévu dans la V2... attendre ou utiliser la Beta2.

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Lightroom : questions générales / Re : Re : Vignettage
« le: 04 avril 2008 à 10:36 »
Pourquoi n'avoir tout simplement pas renforcé l'effet des curseurs déjà présents et adapté l'effet en fonction de l'affichage (photo originale ou recadrée). Cela simplifierait l'interface!

Pour moi, le doublement est nécessaire car c'est complémentaire :
- correction de l'optique
- effet de traitement
Il faut donc des curseurs différents car on peut avoir besoin de valeurs différentes, voire contradictoires.

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Ni l'un ni l'autre mais les deux. Je m'explique.

J'utilise les instantanés en cours de développement, pour travailler par étape, ou pour figer le développement final. Tous les développements qui donne lieu à un export TIFF ont un instantané final qui correspond au TIFF. Si je reviens sur mon développement, je refais un instantané, et en général je ne conserve que le meilleur.

Mais si je veux faire deux TIFF d'un même RAW, un NB avec une couleur, deux cadrages différents, et que je veux les garder tous les deux, alors je crée une copie virtuelle.
Là, chaque copie virtuelle possède son instantané, que je conserverai bien entendu.

Voilà pour moi.

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Oui, il faudra manipuler les fichiers JPG exportés pour les dispatcher dans leur répertoire "datés". Pour cela il suffit de faire des copier/coller de blocs de fichiers (dans l'explorateur si tu es sous Windows).
Enfin, c'est simple pour moi, puisque mes fichiers sont préfixés avec la date ! Je peux donc plus facilement les identifier et les manipuler...

La réimportation dans LR est facilitée depuis l'apparition de la fonctionnalité de synchronisation des répertoires (je ne suis pas certain du nom officiel de la fonction, mais j'espère que vous m'avez compris). Une synchronisation sur le (ou les) répertoire racine de l'arborescence LR et le tour est joué.

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Bonjour,

C'est un premier mais long message !

Pour compléter ce fil, je voulais vous faire part de ma méthode d'organisation de mes photos. Au final, cela ressemble à ce qui est déjà proposé, mais avec une variante sur la gestion des photos développées.
Merci à Lightroom qui m'a permis de mettre au point un workflow intégré de bout en bout et mono produit.


Le principe de base est que les photos sont classées dans des répertoires "datés", mais comme il y a les RAW, les DNG, les TIFF et les JPG, voilà comment je m'en sors.


1 : photos brutes RAW

Premièrement, je télécharge mes photos sur l'ordinateur avec EOS Utility (j'ai un Canon...) dans un répertoire qui s'appelle "1_photos brutes". Voici un aperçu des répertoires (exemple) :

1_Images_brutes
   2007_11_10
   2007_12_24
   2007_12_25

Les photos sont toutes renommées automatiquement par EOS Utility en
AAAA_MM_JJ_IMG_XXXX.CR2
La présence de la date dans le nom du fichier permet une recherche plus rapide à partir d'un export envoyé par mail par exemple.

A partir de ces RAW, je fais un premier tri avec ZoomBrowser, outil Canon, pour jeter les photos qui ne me satisfont pas du tout ou que je n'exploiterai jamais. On peut faire autrement, c'est simplement une habitude qui m'est restée de l'ère "avant Lightroom".


2 : photos importées DNG pour le développement

Ensuite, j'importe les RAW dans Lightroom, dans un autre répertoire, avec conversion DNG pour ne pas me trimballer des fichiers sidecar, et pour conserver à la fois des RAW et des DNG pour garantir au maximum les compatibilités dans le futur.
Le principe d'organisation des répertoires est presque le même, sauf que le nom des répertoires est modifié :

2_Images_travaillées
   Work_2007
      Work_2007_11
         Work_2007_11_10
      Work_2007_12
         Work_2007_12_24
         Work_2007_12_25

Ici, j'ai rajouté le niveau "mois" pour faciliter les exports et imports de catalogues avec mon disque dur, et mes sauvegardes sur DVD.

C'est ici que je fais mes traitements sous Lightroom et uniquement Lightroom. Question de pratique et de philosophie.

C'est à ce niveau que je gère les métadonnées. Chaque personne est systématiquement référencée par un mot clé. Parfois une catégorie de photo est saisie dans un mot clé (N&B, architecture, paysage...). Depuis peu, j'ajoute les "événements" dans les mots clés (mariage untel 2007, noël 2007...) pour ne pas utiliser les collections qui sont me paraissent moins universelles.
Les données IPTC de lieu (Pays, Région, Ville, ?) sont systématiquement saisies.


3 : photos finales TIFF pour la sauvegarde finale

Quand j'estime qu'un groupe de photo est terminé d'être développé, j'exporte des TIFF.
Seules les meilleures photos développées sont exportées.

Les TIFF sont exportés vers un répertoire spécifique, mais gérés au niveau du mois uniquement pour les sous-répertoires, car le nombre de clichés ayant diminué, le niveau jour n'a plus d'intérêt ici.

3_Images_finales
   Finales_2007
      Finales_2007_11
      Finales_2007_12

Les photos TIFF sont renommées, puisqu'il peut y avoir plusieurs versions TIFF d'un même RAW/DNG de base.
Le nom est donc :
AAAA_MM_JJ_IMG_XXXX_lryy.CR2
où yy est le numéro de version, communément 01, parfois 02, rarement 03.
Le 'lr' est ici présent pour indiquer un travail dans Lightroom, vestige du temps où je passais à la fois par DPP, TheGimp, LR, etc. avant de finaliser le workflow.


4 : photos JPG pour la visualisation ou tirage rapide

J'ai travaillé quelques mois ainsi, puis je me suis aperçu qu'il fallait aller plus loin pour libérer de la place disque et pouvoir conserver sur mon ordinateur l’intégralité de mes photos finalisées pour pouvoir les montrer facilement.
Après quelques mois de vie en TIFF, les TIFF sont exportés en JPG, ce qui permet d'alléger le disque dur du poids des TIFF.
L'export vers un JPG ne se fait que quand je suis certain que je ne vais pas revenir dessus, pour ne pas multiplier les mises à jour. En général, après 4 à 6 mois de vie du DNG/TIFF.

4_Images_jpg
   Jpg_2007
      Jpg_2007_11
      Jpg_2007_12

Ces JPG sont optimisés pour des tirages 10x15, donc réduits. Ils sont présents pour visualisation et immédiatement disponibles pour un envoi vers un labo.
Pour les travaux complémentaires, il faut aller rechercher les TIFF ou les DNG.
Les photos gardent ici le nom initial du TIFF.


Notes :

On pourrait penser que l'étape TIFF est superflue, mais il n'est pas aisé de conserver la vision définitive d'une photo dans un DNG. Comment être certain que des paramètres ne vont pas être modifiés quand bien même on aurait fait un instantané ? Et comment être certain que ce sont les bons instantanés qui sont sélectionnés lorsqu'on veut faire un export pour un tirage, surtout en travaillant par lot ?

J'adopte aussi les couleurs pour y voir plus clair dans les étapes : jaune pour les DNG OK, rouge pour les TIFF et les JPG, bleu et vert pour le travail à faire et violet pour les DNG à supprimer.
Les étoiles servent à l'intérêt photographique du cliché développé.

Bien entendu, les fichiers supprimés de l’ordinateur auront été au préalable copiés sur un DD externe et gravés sur DVD (sauf pour les photos qui ne présentent aucun intérêt bien sûr).


Voilà, merci d'avoir lu ma prose, merci pour vos remarques, et je tiens à féliciter Gilles pour cet excellent travail de passionné.


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