Voir les contributions

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - pinbeu

Pages: 1 2 [3] 4 5 6
31
Ben on peut supposer que le titre d'une photo est plus général que sa légende. Ils n'ont pas toute à fait la même utilité. Par exemple on peut mettre pour toute une série de photos le titre Vacances Bretagne 2007 et ensuite détailler dans la légende Plage d'Erquy, Le Croisic, etc.

32
Avec un DD on est jamais à l'abris d'une fausse manip... Perso je grave des DVD en double qui contiennent les RAW, le catalogue LR associé à ces photos et le package d'installation de LR. Comme ça le DVD est autonome ^^

33
Catalogage et gestion des images / Re : Lightroom le Magicien !
« le: 04 février 2008 à 18:30 »
De toute façon pour savoir avec certitude si oui ou non tes photos sont encore sur le disque, effectue une simple rechercher avec le moteur de recherche de ton OS. S'il ne les trouve pas... elle ne sont pas forcément perdues ! Les fichiers ne sont probablement pas effacés physiquement de ton disque et un utilitaire de sauvegarde du style Easy Recovery saura les retrouver. Bon courage !

34
Module Développement / Re : Différence entre HSL et Calibration
« le: 03 février 2008 à 11:00 »
Je ne suis pas un expert mais l'outil HSL permet de travailler sur l'image. L'outil calibration sert à générer des profils colorimétriques personnalisés exploitables par Lightroom et Camera Raw. Ce dernier n'est pas un outil de retouche de l'image.

C'est vrai en théorie, ils ne sont pas dédiés à la même utilisation, mais ces deux outils affectent l'image de la même manière.

35
Module Développement / Re : Différence entre HSL et Calibration
« le: 03 février 2008 à 01:27 »
Je m'étais déjà posé la même question... Je crois que les réglages de calibration son plus fins, mais je ne saurais l'affirmer. On y retrouve également uniquement les 3 composantes primaires R G B. Mais il n'en reste pas moins que ces outils sont très similaires et ont le même effet sur la photo.

36
Quelque soit la source des photos le principe d'importation reste le même : il faut cliquer sur importer, choisir les photos à importer et choisir la méthode d'importation : déplacer/copier les fichiers ou bien les conserver à leur emplacement d'origine. Si cette dernière option est choisie et que le CD n'est pas inséré, LR le signalera et seuls les aperçus générés dans le catalogue seront visibles.

Il existe quantité de tutoriels qui te permettront de te familiariser avec les collections, l'import, etc. : http://www.lemondedelaphoto.com/-Labo,2-.html

37
Oui mais si tu dois par exemple importer un grand nombre de photos avec des sensibilités différentes ça peut être bien d'automatiser la tâche plutôt que de sélectionner un groupe, faire le réglage ; sélectionner l'autre groupe, appliquer un autre réglage, etc. Ce que voudrait Senbei serait une souplesse totale des presets ce qui je pense n'est pas très dur à coder en plus.

38
et bien heu... si la date ne figure plus dans les données EXIF, elle est malheureusement perdue et irrécupérable. Ce n'est pas comme un fichier que l'on supprime mais qui physiquement existe toujours. Là, les données sont écrasées. Et pour avoir les photos dans le bon dossier date, je crois que tu vas devoir compter sur ta mémoire...

39
Je suis en train de refondre ma liste de mots clés pour qu'elle soit plus structurée. Je créé un liste la plus universelle possible et j'appliquerai ensuite les mots-clés sur les photos. Mais voilà mon problème : lorsque j'applique le mot clé "Jour" sur une photo, j'aimerais que les catégories parentes "Ciel" et "Paysage" s'ajoutent aussi. Est-ce possible ?

Il me semble avoir déjà vu une arborescence de type parent > enfant1 > enfant2 dans les mots clés d'une photo mais je n'arrive pas à le refaire.

40
Sélection du/des fichier(s) et CTRL/Pomme + S : créé un fichier .xmp dans le cas des RAWs et incruste les mots-clés dans le fichier dans le cas d'un Jpeg. Les autres formats, je ne sais pas.

Les fichiers .xmp ne sont pas encore reconnus par tous les gestionnaires d'image.

41
Cela dépend de ton fournisseur d'accès. La plupart des FAI proposent un espace de stockage sur un FTP associé à ta boîte mail chez ce fournisseur, mais il n'est pas activé par défaut. En farfouillant dans les paramètres de ton compte internet tu devrais trouver une option permettant de l'activer. L'activation prend un ou deux jours. Tout ceci est en principe gratuit.

42
Bonjour,

Il n'est pas possible d'effectuer des recherches sur plusieurs catalogues. Par conséquent, il serait très peu judicieux d'avoir un catalogue par année ou par genre. Des outils de classement et de recherche très performants sont déjà inclus dans LR comme les mots-clés, les collections et les données IPTC. Un catalogue par machine permet déjà des possibilité de classement très pointues.

Lorsque le catalogue grossit il ralentit la machine mais ça ne se ressent que si ta machine est déjà un peu juste au niveau config. En fait il y a un ralentissement en théorie, mais dans la pratique il n'est pas très substantiel (en ce qui me concerne du moins).

Oui on peut déplacer les catalogues. De manière à être sûr de conserver l'intégrité du catalogue au cours de la copie ou du déplacement, il est néanmoins conseillé de faire cette manipulation sous LR en choisissant Fichier > Exporter en temps que catalogue. Cette fonction exporte les photos sélectionnées sous forme de catalogue. On peut alors choisir de n'exporter que la base de données (le fichier .lrcat) ou bien d'y ajouter les aperçus et les négatifs (qui sont en fait les fichiers images).

43
En matière de mots-clés, s'il y en a dont c'est bien le métier ce sont bien les banques d'images.

Par exemple, on peut s'inspirer de deux en vigueur chez Fotolia.
Ils utilisent d'ailleurs deux grandes catégories:




C'est vraiment bien classé, j'aimerais que ça soit pareil dans ma bibliothèque. Mais ça devient un travail titanesque et on passe plus de temps à classer qu'à autre chose. J'ai déjà mis plusieurs mois à classer ma photothèque avec LR et quand je vois leur classement à eux j'ai presque envie de recommencer, mais bon...

44
Voici une traduction de l'article de Stephen Shankland évoqué plus haut.



17 janvier 2008, 11h41 PST
Panoramas et HDR dans la ligne de mire d'Adobe Lightroom
Posté par Stephen Shankland, traduit par pinbeu

Bonne nouvelle pour les passionnés de photo qui souhaiteraient utiliser Photoshop Lightroom pour la photo HDR (High Dynamic Range : grande gamme dynamique, ndt)  et pour la création de panoramas : Adobe System étudie ces fonctions, même si elles ne font pas forcément partie du programme de développement principal.

C'est la déclaration de Kevin Connor, le directeur supérieur de la gestion de production d'images numériques professionnelles, et du comité exécutif qui supervise Lightroom, Photoshop et le format négatif numérique (DNG). J'ai parlé avec lui mercredi au cours du Macworld trade show ici à San Francisco.

Connor est très au fait de ces deux domaines de la photographie numérique, qui évoluent très rapidement. La photographie à haute gamme dynamique (HDR) combine différentes expositions d'un même sujet dans une seule et unique image qui couvre mieux l'étendue des tons foncés et des tons clairs ; un bon exemple est la photo de l'intérieur d'une cathédrale qui présente à la fois des vitraux très lumineux et des arches sombres. Les vues ultra-larges, plus connues sous le nom de panoramas, sont étudiées depuis quelques décennies, mais la possibilité d'assembler des images numériques – par exemple avec la nouvelle fonction Photomerge de Photoshop – a donné un nouveau souffle à cette dimension de la photographie.

On est en droit d'être optimiste sur le support de l'HDR et la création de panoramas dans Lightroom, mais gardez vous d'être trop à l'affût. Selon Connor, tous deux sont dans le collimateur de Lightroom, mais il a pris soin de ne rien promettre et n'a précisé aucune date.

Concernant l'HDR, il a déclaré : "C'est assurément une chose à développer. Je ne sais pas quand. A terme, les appareils photographieront en HDR. A terme, Lightroom saura le gérer."

Quant à la création de panoramas, il a déclaré : "On peut argumenter en sa faveur. Il s'agit plutôt de recréer une scène que de créer quelque chose qui n'était pas là en premier lieu."


La vision de Lightroom

Ces affirmations, bien que modérées, illustrent la philosophie d'Adobe avec Lightroom. A la différence du traditionnel Photoshop, Adobe envisage de faire de Lightroom un outil permettant de tirer le maximum de l'image enregistrée par l'appareil au moment de la prise de vue.

Lightroom peut bien sûr altérer une photo avec des effets spéciaux, mais Connor déclare : "Nous voulons absolument continuer d'optimiser ce que vous avez vu au moment où vous l'avez photographié".

Pour cette raison, Lightroom est principalement conçu pour travailler avec des images brutes – les fichiers directement issus du capteur de l'appareil, sans le traitement embarqué qui délivre le format JPEG, plus limité mais néanmoins commode. L'opération centrale de Lightroom est le développement d'un certain nombre d'images brutes en produits finis, mais l'application permet également de cataloguer et de décrire des photos, de les imprimer et de les partager sous forme de galeries sur Internet.

Photoshop, en revanche, ne permet pas seulement l'édition mais aussi toutes sortes de créations originales, de la composition de plusieurs images à une esquisse ou une toile de peinture numérique, d'élaborer des effets visuels sur du texte. Une autre différence : Photoshop présente une myriade d'options d'édition à tout moment, alors que l'interface de Lightroom est étudiée pour suivre le flux de travail du photographe, à savoir l'importation, l'édition et l'exportation.

Une des notions clés de Lightroom – et une autre différence majeure avec Photoshop – est l'édition non destructive. Non seulement dans Lightroom chaque ajustement est réversible, mais l'application garde une trace de tous ces changements et les enregistre sous forme de métadonnées associées au fichier image. Cela signifie la préservation de l'image brute sous-jacente mais accompagnée d'instructions comme son recadrage, l'ajustement de ses tons et l'accentuation de ses contours.


Le challenge SDK

Cette philosophie non destructive représente un gros défi pour Adobe : comment concevoir un kit de développement pour Lightroom (SDK : Software Development Kit ou Servlet Development Kit, ndt). Les kits de développement permettent la création d'extensions apportant de nouvelles fonctionnalités à l'application de base. En effet, la grande gamme de plugins tiers pour Photoshop illustre bien la valeur de cette approche.

Adobe a réalisé un kit de développement bêta avec une envergure très limitée mais prévoit, selon Connor, de l'étendre. Le dur choix auquel la compagnie fait maintenant face est le suivant : quelle importance accorder à la construction d'un kit par rapport à la création de nouvelles fonctionnalités ?

Connor affirme qu'un kit pour Lightroom est plus épineux qu'un kit pour Photoshop car ce dernier peut accepter un filtre qui modifie de façon permanente une image. Les plugins de traitement d'image sont "plus compliqués dans Lightroom car l'application est non destructive", et les filtres doivent être appliqués et réappliqués en temps réel au fur et à mesure des nouveaux ajustements.

De plus, du fait que les ajustements sont placés sous forme de métadonnées, Connor explique qu'il y a le risque qu'une image éditée avec un plugin sur une machine paraisse différente sur une autre machine dépourvue de ce plugin, si tant est qu'elle puisse même être affichée.

Adobe a commencé à développer Lightroom (sous le nom de code Shadowland) entre la sortie de Photoshop 7 en 2002 et Photoshop CS en 2003. Mais la première entreprise à avoir porté sur le marché un tel produit est en fait Apple, avec son logiciel Aperture.

Connor raconte qu'Aperture a dopé le développement de Lightroom : "L'état d'urgence a été levé. Nous ne voulions pas que les gens pensent que nous ignorions le marché ou que Lightroom était juste une réponse".

Adobe a choisi de travailler selon une approche très progressive, en sortant de nombreuses versions bêtas, puis une version 1.0, 1.1, 1.2 et plus récemment, 1.3. A chaque mise-à-jour, des fonctionnalités significatives ont été ajoutées, ce qui me laisse supposer que cette version 1.3 est peut-être mieux pensée que la réelle 1.0.

En effet, les choses semblent un peu plus posées maintenant et Connor a suggéré que l'intention d'Adobe était maintenant tournée vers des mises-à-jour plus substantielles. (Il n'évoquera surtout pas une version 2.0 et encore moins une date de sortie, mais vous pouvez être sûr que c'est en cours de préparation.)
"Je n'exclue pas une mise à jour 1.5", déclare Connor, "mais je pense que nous avons le gros de ce que nous voulions avec les mises à jour".


45
Le masquage, ça oui ça serait le pied ultime ! Je me demande même pourquoi c'est si peu démocratisé auprès des logiciels de ce type car ça permet une liberté incroyable !

Pages: 1 2 [3] 4 5 6