Bonsoir,
beaucoup de photographes, amateurs et pros, que je côtoie ont des approches parfois très éloignées de ce qu'implique une vision documentaire de leur stock d'images.
Ce qui est
thème ou
événement pour l'amateur est
client ou
projet pour le professionnel.
Dans tous les cas, le classement se trouve lié à un mode de vie, une histoire personnelle ou à une activité définie.
Malheureusement, ces approches produisent des organisations non pérennes, car trop attachées à une vision du stock valable pour un temps donné.
Cataloguer, de quelque manière qu'on tourne son discours, revient à emprunter des méthodes documentaires aux professionnels qui les ont conçues.
Or ces méthodes ont été peaufinées de manière à sécuriser l'avenir du travail d'organisation.
Je ne dis pas pour autant que tout un chacun doive se plier à ces règles sans barguigner.
Instruit par de sagaces conseillers et par mes propres erreurs, je souligne simplement les implications de choix qui n'offrent pas les meilleures garanties d'un catalogage de qualité et pérenne.
L'exemple de Mamie à Paris, Tour Eiffel, 2011 me donne l'occasion de citer le cas où je souhaite constituer un album des voyages du plus globe-trotter des 43 petits-enfants de Mamie.
Dans combien de dossiers thématiques devrai-je chercher ces images ?
C'est du débat que jaillit la discussion…
C_Lucien