Première chose : la philosophie Lightroom. Ce logiciel n’est pas un éditeur de pixels mais de métadonnées.
Lorsque vous travaillez sur une image, les modifications – exposition, corrections diverses, etc… – s’affichent à l’écran mais n’affectent pas l’original. En effet, tout est enregistré dans un petit fichier qui accompagne la photo. Plus tard, lorsque vous décidez de l’ouvrir à nouveau, la liste des corrections s’affiche dans un historique. Vous pouvez revenir en arrière ou tout simplement repartir dans une autre direction, avec une facilité et une rapidité déconcertants. C’est ce qui fait la grande force de Lightroom. Mais pour en profiter et comprendre ce qui peut être déroutant au début, vous allez devoir changer vos habitudes de travail.
Par conséquent, je vous recommande fortement d’apprendre par coeur la petite liste suivante :
Dans Lightroom :
  • On ne navigue plus dans une arborescence de fichiers pour ouvrir une ou plusieurs images : on IMPORTE.
  • A la fin du travail, on n’enregistre plus sous… mais on EXPORTE.
  • Pour appliquer les mêmes ajustements ou réglages à une ou plusieurs images, on ne fait plus de copier / coller mais on SYNCHRONISE.
Bien entendu, nous verrons tout ça au fur et à mesure de l’évolution de ce blog.

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Un commentaire sur l'article “La philosophie de Lightroom ou comment changer ses habitudes.”


  1. Par Jc, le 24 janvier 2011 à 18:11

    Je déterre, je déterre … Mais comme je ne comprends que pouic, je me met au B A BA ;)
    Merci donc de ces articles pour les nuls qui permettent de progresser dans un ordre plus pédagogique.